“Le travail de “sursaturation”, dont le point de départ se structure autour de pages de dictionnaire qui s’accumulent les unes sur les autres, nous montre une autre facette de son œuvre. L’accumulation s’achevant sur une page noire, opaque, où l’ensemble des mots, “le tout”, finit par exprimer un vide, une absence…”. Exposition présentée de juin à septembre 2000.
