FAIS-MOI UN SIGNE
VERNISSAGE – SAMEDI 17 MARS A 18H30
Frédéric Dumond présente Disruption #10 (extension.1)
Disruption est un ensemble de performances initiées il y a quelques années déjà. Son enjeu premier est la modification du texte à chaque fois qu’il est donné en public. Des fragments du texte sont ré écris et l’ensemble est recombiné d’une performance à l’autre. La manière dont les éléments sont dits par le public qui intervient, amène l’artiste à modifier la « couleur » du texte et sa structure.
Le texte des disruptions est donc, potentiellement, toujours en état d’instabilité.
Note : la disruption est la modification d’un état donné par une décharge d’énergie (en électricité, une étincelle modifie l’énergie d’un circuit électrique)
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VISITE COMMENTÉE
Pour ‘papoter’ avec les oeuvres, rendez-voous chaque samedi à 16h autour d’un thé.
Gratuit.
DEMONSTRATION D’IMPRESSIONS TYPOGRAPHIQUES
Maisons Daura – St-Cirq-Lapopie – Samedi 21 avril et dimanche 22 avril de 14h à 18h
Présentation de « Cyclope, un point de vue pas tout à fait humain ».
Roger Rousseau – Beate Honsell-Weiss, avec Gérard Lefèvre, typographe et Alain Prillard, artiste et éditeur.
Gratuit.
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CONFERENCE
Grotte-Musée du Pech-Merle, Cabrerets – Lundi 23 avril à 20h30.
« L’homme, le monde et l’écriture » par Marie-Hélène Pottier, conservateur du Musée Champollion, les Ecritures du Monde – Figeac
L’homme est venu à l’écriture en observant son environnement. Lorsqu’il trace les premiers signes pour établir le principe d’une communication avec les forces supérieures – ou avec ses semblables – la représentation des choses du monde lui permet d’exprimer symboliquement sa pensée et son langage. Transformés, schématisés, les signes s’éloigneront progressivement de leur origine graphique ou identitaire.
Le besoin de graver, de peindre, de laisser une trace permanente a été présent dans toutes les sociétés ; aujourd’hui, c’est encore sur l’écriture que repose la communication établie par les réseaux Internet.
Gratuit.
LECTURES EN SÉRIE
Centre d’art contemporain – Cajarc – Samedi 5 mai à 16h
Des comédiens et une historienne de l’art contemporain se partagent la vedette pour animer cet après-midi
– Patrice Bornand, comédien, lit des écrits d’artistes dont Gilles Aillaud, Jean-Luc Parant.
– Bruno Di Rosa, auteur et comédien, réalise des performances avec ses propres textes.
« J’ai commencé le Carnet à l’été 1986. L’idée consistait à écrire une page par jour parce qu’il me semblait que, comme pour apprendre à jouer du piano il faut faire des gammes, pour apprendre à écrire il me fallait écrire tous les jours. Une page par jour et pas deux ou trois parce que plusieurs pouvaient conduire à aucune et d’une écriture régulière et fine pour ne pas me débarrasser de la page par quelques pirouettes graphiques. De même, pour ne pas me poser de problème de «sujet» je décidai de commencer chaque page par le dernier mot de la page précédente. C’est d’écriture qu’il s’agit, bien entendu et le but reste le même qu’au départ : faire une belle page d’écriture. Près de 7000 pages ont été écrites à ce jour ; la lecture commence par la page du jour ».
Dire qu’on est poète, aujourd’hui, peut sembler étrange. Bruno Di Rosa l’est et le dit. Chaque jour il écrit dans son carnet bleu, comme une règle qu’il s’impose et à partir de quoi il improvise. Chaque livre est une mise à l’épreuve de l’acte d’écrire. Di Rosa se raconte par l’entremise des mythes grecs, de Rousseau qu’il met en ligne, de Flaubert qu’il copie, de Du Bellay qu’il bégaye. Un monde. Le sien.
– Françoise Lonardoni, responsable des collections contemporaines à la Bibliothèque municipale de Lyon, parle du livre d’artiste.
Du signe graphique sur la page, jusqu’au langage utilisé comme matière première, le vingtième siècle a aimé tisser l’art et l’écriture, le langage et le son, le visible et l’intelligible. L’artiste et l’écrivain partagent au moins deux désirs : dire le monde, mais dans le même mouvement, rendre manifeste son impossible énonciation. Cette présentation reposera sur des oeuvres postérieures à 1960, de courants esthétiques variés, avec quelques contrepoints en son ou en video.
Françoise Lonardoni est historienne d’art, chargée des collections contemporaines, responsable de l’artothèque, à la Bibliothèque municipale de Lyon. Elle publie par ailleurs des textes et fait des conférences sur des artistes contemporains
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Centre d’art contemporain – Cajarc – Dimanche 10 juin à 16h.
– « Resto » de Jacques Serena, une commande de Lectures&Lecteurs sur l’illettrisme, lu par Cécile Magnet et Alain Fromager. Accompagnement musical : Jean-Marc Padovani.
Gratuit
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CINÉMA en partenariat avec CinéLot et le Quercy Cahors
Basquiat de Julian Schnabel (1996, France, vo)
. dimanche 1er avril à 21h / Salle des fêtes Sauliac-sur-Célé
. mercredi 4 avril à 21h / Salle des fêtes de Cajarc
. dimanche 15 avril à 18h / Cinéma le Quercy Cahors
Pillow Book de Peter Greenaway (1997, Grande-Bretagne, vo)
. vendredi 27 avril à 21h / Salle des fêtes Tour-de-Faure
. samedi 28 avril à 21h / Salle des fêtes Cajarc
En première partie pour ces deux séances Un original locataire de Charley Bowers (burlesque muet, USA, 1
1925)
. dimanche 29 avril à 18h / cinéma Le Quercy Cahors
The Hours de stephen Daldry (USA, 2002, vo)
. mercredi 23 mai à 21h / salle des fêtes Saint-Géry
. jeudi 24 mai à 21h / Salle des Fêtes Cajarc
Balzac et la petite tailleuse chinoise de Dai Sije (Chine, 2002, vo)
. samedi 9 juin à 22h / Théâtre de plein air de la Fourdonne St-Cirq-Lapopie
